°~~||+§+|| Nate River ||+§+||~~°

- Nom :

Son nom d'emprunt se trouve être River

- Prénom :

Il se fait prénommé Nate

- Surnom:

Aucun et je mets au défi quiconque de lui en trouver un surtout si celui-ci est ridicule!
Certaines personnes le surnomme l'albinos dans leurs pensées mais personne ne lui a jamais dit...

- Age :

17 ans

- Date d'anniversaire :

13 Décembre 1980

- Sexe:

Masculin

- Sexualité:

Il n'en a que faire, mais sa première expérience l'a assez marqué après, qui peut savoir ce qui se trame dans la tête de ce jeune homme?

+°|N|+|R|°+

- Travail:

Gérant de la boite de nuit Byakuya

- Rang:

Assassin à ses heures perdues
(ou même hommes à tout faire... tout lui convient du moment qu'il est bien payé et qu'il y trouve de l'intérêt!)

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- Famille :

Son père était un célèbre industriel connu pour ses actes bénéfiques et généreux, sa richesse n'ayant d'égal que cette bonté, leur famille possédait une petite fortune bien conséquente pouvant subvenir à tous leurs besoins, Mike, comme il se prénommé, aimait passionnément tous ses enfants bien qu'une certaine froideur était adressée à Nate alors qu'il mettait sur ses épaules la succession de leur illustre famille dont le nom véritable est inconnu. Sa mère, Adélaïde, était, tout comme son mari, d'une bonté assez flegmatique et se préoccupait grandement de l'avenir de ses enfants. L'un des seuls souvenirs d'elle qu'il possède est son sourire angélique toujours si protecteur envers lui. Vient ensuite sa grande sœur, assez rebelle et en dehors du chemin tracé pour eux de bonté, la seule hérétique de la famille qui était pourtant assez porté sur les phénomènes paranormaux et autres textes et écrits du genre. Il y avait aussi deux petites pestes jumelles et loin d'être gentilles dont il ne se préoccupé guère en dehors des moqueries qu'il recevait de leur part. Et bien sur, son grand frère, Un jeune homme plein d'éloquence, de prestance, si estimé de tous et qui devait s'occuper de la gestion des biens de la famille, tandis que lui le cadet, serait le successeur officiel grâce à son avance bien visible côté intelligence et réflexion.
Une famille étant d'ailleurs très axée sur le catholicisme qui était une chose en quoi il fallait croire si l'on ne souhaitait pas remontrance.

- Origines:

Jeune anglais sortant tout droit d'une contrée reculée de l'Ecosse, il possède quelques origines allemandes qui lui donne ce teint particulièrement pâle qui lui va si bien.

- Où habite-il:

Malgré son souhait de rester invisible dans cet ville, il n'a pu s'abbaisser à n niveau de vie si médiocre pour sa classe sociale et a emmenagé dans un petit appartement chose déjà rare en ces lieux.

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Description physique:

Le jeune garçon mesure un bon petit 1 mètres 71, et bien qu'il se trouve trop petit et détestant qu'on le regarde de haut, il n'en reste pas moins très attirant par son côté fleur fragile qui sont bien retranscrit par son petit 54 kilos.
Ses cheveux sont d'un blanc d'une pureté encore inégalés, fin et un peu plus long que la moyenne, lui glissant dans la nuque de façon discrète et timorée.
Ses yeux, eux, se trouvent être noirs teintés de nuances cobalts aux expressions tantôt profonde
et brumeuse, tantôt amusé et moqueur! Les yeux se trouvent être aussi le miroir de l'âme
d'une personne mais dans son cas on ne peut guère y lire dans leurs beautés scandaleuses qui s'animent d'u éclat encore plus beaux avec la couleur de sa peau laiteuse.
Une peau blême, livide que l'on pourrait aisément comparer à la pâleur de la lune si elle n'en avait pas était plus douce encore!
Il possède un style vestimentaire d'une simplicité qui plus est abracadabrante. Son petit côté simpliste qu'il laisse transparaître est parfaitement explicable par ses vêtements presque toujours blanc et un peu trop grand pour lui donnant un léger côté enfantin lorsqu'il le veut bien. Il porte aussi du noir mais jamais de couleur à part le rouge par rare moment aussi. Ce petit côté négligé sans le vouloir se trouve être assez classe lui saillant plus que bien. Il se trouve être particulièrement apprécier par la gent féminine (voire même masculine par instant), ses damoiselles aimant sa gentillesse et l'attention dont il peut faire preuve par instant.
Une cicatrice de ses pêchés lui rappelle cependant continuellement son passé. Cette cicatrice à jamais ancré dans sa peau au niveau de son poignet droit, dernier vestige de quelques tentatives de suicides bien vaines. Il possède aussi un tatouage étrange constitué d'arabesques que le bras gauche et qui parfois est visible sur sa joue et dont il dissimule l'origine depuis son plus jeune âge.

Description psychologique:

Que dire? Il semble toujours à l'écoute des autres (surtout si cela peut lui être profitable) et sait parler à autrui, adaptant son langage à la personne à qui il s'adresse, gardant pourtant cette pointe quelque peu enfantine lorsque cela lui est profitable. Son petit sourire énigmatique arrive d'ailleurs à briser bien des froids avec autrui et sa popularité auprès de ses jeunes filles qu'il respecte visiblement fait de lui quelqu'un assez apprécier même si d'autres eux trouvent souvent ce comportement pitoyable. Cette pointe d'avenante qu'il fait transparaître n'est donc pas pour plaire à tout le monde.
Mais sa qualité la plus grande et sans nul doute son intelligence plus que développer, un esprit vif et rapide qui n'a de cesse de réfléchir aux milles et une possibilité qu'entraîne chacun de ses actes. Son sens de la déduction est assez prononcé, qui puis est il apprécie le fait de pouvoir s'instruire et est curieux de tout et de rien, variant les sujets selon ses désirs et ses objectifs.
En parallèle il se trouve être paranoïaque, distant, froid et solitaire, se faisant martyre en tentant d'être avenant avec les autres par instant. Son complexe d'infériorité fait de lui quelqu'un d'assez compliqué qui se vexe assez facilement même s'il ne laisse rien transparaître. Cela conduit à un trait de son caractère qui peut être perçut comme une qualité ou comme un défaut, il est extrêmement calme. Un calme inébranlable à toute épreuve et qui semble être plus dur et résistant que le marbre. Il semble toujours en train de réfléchir chose qui contraste avec son apparence quelque peu gamine par instant. Il est aussi d'un je m'en foutisme incroyable et un excellent comédien. Il fait croire ce qu'il veut à qui il veut et surtout peut cacher ses émotions comme bon lui semble grâce à cela, semblant peut être joyeux alors qu'il se morfond ou réfléchit à l'une des élucubrations de son esprit. Pour parfaire le tableau de ses défauts qui ne sont pas des moindres il allie la paranoïa maladive à un côté totalement avare et égoïste, cherchant toujours à profiter d'autrui par le passé et encore par instant de nos jours. Alors que dire quand en plus de cela s'ajoute un narcissisme à toute épreuve qui fait qu'il vaut mieux ne pas tenter de l'éclipser sans subir une vengeance venue de nulle part... Pourtant, la plupart de ses énormes défauts ne surgissent que lorsque qu'il se sent en quelque sorte menacer par quelqu'un qui souhaiterait l'humilier ou face à un adversaire à sa mesure. Dans ce cas son regard sera presque immédiatement traître, celui-ci s'allumant d'un feu clamant la fureur, le sadisme et la destruction.

Il ne possède pas la notion de bien et de mal. Ce qui l'avantage est bien, ce qui ne lui permet pas de progresser et d'être reconnu est mal. En bref, ce qui lui convient est bien et ce qui lui déplait devient le mal. N'allez donc pas lui parler de certaines valeurs tel que la discrétion sur la vie des autres, il ne comprendrait pas et se vexerait même. De plus depuis son jeune âge, son caractère initial a été Fortement altéré et il se trouve être devenu un jeune homme avenant, pervers, sadique et étant pourvu de nombreuses facettes... gare à vous et surtout à vos fesses la nuit venu, le moment où il se dévoile un temps soit peu!

Nate n'est donc qu'un être composé de défauts et de qualités radicalement opposés qui ne font que s'altérer ne permettant guère de savoir à quoi il pense et qui il est vraiment... quoique vu son passé on ne peut se demander qu'une seule chose...

Les gens changent ils vraiment avec le temps?

Ce qu'il n'aime pas:

La nature humaine en générale, les gens qui se pensent supérieur à lui, et tellement d'autres choses qu'il est impossible de les énumérer!

Ce qu'il aime:

Chose déjà fort plus restreinte... il aime et chérit son collier possédant une croix catholique, symbole d'un souvenir passé et de son existance d'avant malgré qu'il ne soit pas croyant ou presque. (ils croient en ce qu'il souhaite en fait)

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Autres:

Hm... rien de plus rien de moins, à part peut être le fait qu'il n'est qu'à moitié croyant, le jeune homme s'adressant par instant à son ange protecteur et à son ange déchu lorsqu'il en ressent le besoin, il ne croit qu'en un seul ouvrage que sa soeur à oublier avant de fuir de l'orphelinat et qu'il garde toujous avec lui: le necromonicon.

Il possède aussi de nombreuses maques inscrustées à jamais sur son corps, résultat de ses heures de tortures où sa peau ouverte rentrée en un douleureux contact avec de l'eau salé, los de sa séquestration. Il déteste d'ailleurs qu'on le touche ou que son corps soit dévoiller à la lumlière du jour, haissant ses marques répugnantes.

(^___^ qu'est ce?? et bah vous saurez paaas! =P)

- Histoire:

Né de parent pauvre comme tous dans les tréfonds de l'enfer où ils vivent, entre misère, damnation et cruauté, il n'est apparemment qu'un jeune homme comme les autres ayant souffert de quelques maux semblable à ceux de son voisin le plus proche.
Du moins, c'est ce qui ce que l'on raconte dans les ruelles sombres et obscures de cette ville si méconnue de tous et de toutes. Il ne serait qu'un garçon, surdoué certes, ayant vécut une enfance presque trop paisible pour pouvoir vivre dans ce monde plein d'injustice, l'albinos n'ayant apparemment eu que peu d'ennuis dans cette ville si mal fammée! Rien de plus qu'un fils de prostituée qui ignore les autres par simple snobisme ou qui se trouve être trop gentil avec d'autres personnes. C'est selon.
Pourtant ce n'est pas là vérité, loin de là, je m'en vais donc vous la conter....
°°°°°
De sa vraie identité Lawliet Wickedness, ce jeune garçon albinos aujourd'hui prénommé Nate River vit le jour dans une contrée brumeuse de la belle Angleterre. Un petit conté perdu entre deux collines un peu trop hautes où s'accrochaient perpétuellement quelques nuages brumeux ayant décider de venir ennuyer leur monde pour le simple plaisir d'observer quelques vies inintéressantes qu'étaient celles des humains. Pourtant quelques cris attirèrent l'attention de ses brumes qui se penchèrent en la faveur de la nuit sur le berceau d'un être venant à peine d'être confronter pour la première fois à la vie dure et difficile...
Une enfance idyllique pour lui, tel était le souhait de Mike et Adélaïde Wickedness venant de mettre au monde (à proprement parler la jeune femme ayant mise toute seule l'enfant au monde) leur troisième enfant. Ce garçon était Lawliet. Un petit garçon promut à vivre pour sa famille et à y sacrifier sa vie. Il est sur que pour succéder à l'illustre famille dans laquelle il vu le jour, il était condamné à tout sacrifier. Les Wickedness, noirceur en anglais, était une illustre et riche famille de financier dont la réputation, père comme mère, était d'être d'une incroyable bonté. Une réputation de puritain et de bon saint-maritain oeuvrant pour le bien être d'autrui.
Un model.
Pourtant, lors de la naissance de leur troisième enfant, ils décidèrent de l'élever loin du monde cruel qui était le leur, un monde sans parents ni présence, tenant à le tenir éloigner de toutes les influences négatives que pouvait avoir certains préceptes typiquement sorti de la société d'hier, d'aujourd'hui et de demain. Loin de leur nouvel enfant toutes ses histoires de fils de bourges et autres bêtises blessantes dans le genre. Ils s'exilèrent donc dans la vielle Angleterre et ouvrirent un orphelinat pour les orphelins riches ou pauvres. Bien évidemment, les petits bourgeois se gardaient bien de parler de leurs statuts et autres, mais ainsi un vrai contact était crée entre eux, et l'objectif des deux parents fut ainsi récompensé. Lawliet vécut dans cette vieille battisse devenu orphelinat, entre une famille douloureusement elle-même et de nombreux enfants orphelins qui le considérer comme un frère. Reposé sur lui toute les attentes d'un père trop froid le forçant à travailler comme un forcené pour parfaire son intelligence déjà bien développer, ayant pour habitude d'écouter tout et n'importe quoi sans que les gens n'en aient la seule impression. Sa grande sœur l'ignorait, toujours de sortie ou en train d'hurler avec leur mère qui s'épuisait lentement. Et peut être son pire ennemi, son grand frère qu'il aimait pourtant énormément à l'époque.... à l'époque. Un garçon élégant, duquel émané une prestance rare et précieuse. Seulement, il n'appréciait pas du tout le fait de devoir gérer leur famille jusqu'à la majorité de son cadet, pensant que la succession devait lui revenir à lui seul et non pas à son cadet sous prétexte qu'il était surdoué et qu'il avait été conçut pour cette place. De quatre ans son aîné, il haïssait profondément Lawliet pensant que ce dernier ne s'en rendait pas compte, se servant de lui pour s'attirer les faveurs de la famille.
Seulement, Nate -ou plutôt Lawliet- n'était pas si stupide, seulement il ne comprenait pas pourquoi son grand frère semblait si bizarre par instant à son égard. La simplicité et la naïveté de l'enfance ne l'auront pas protéger bien longtemps malheureusement...
Enfant surdoué, Lawliet n'avait pas énormément d'ami, étant un garçon un peu trop solitaire et taciturne mais sans pour autant être détesté des autres enfants. Il y avait juste deux personnes qui ne le quitté jamais. Leen, une jolie demoiselle éprise de lui qui devait avoir son âge et Mad le meilleur ami du garçon qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau pures et cristallines. On ne peut pourtant pas se douter que cette pureté cache un fruit gâté pour l'un d'eux... Pourtant, même pourri ce fruit était assez transparent on l'aurait cru. Le petit trio passait ses journées dans un coin tranquille à étudier avec le surdoué du groupe ou bien à discuter tranquillement, surtout entre garçon. Law' et Mad était comme deux âme sœur, ils s'adoraient et semblaient être comme des frères. L'albinos crut même pouvoir s'en sortir grâce à lui...
Vinrent ses huit printemps, les temps avaient changé, il comprenait à présent plus de chose comme les relations avec son frère ou son père. Quelques détails qu'il analysait avec minutie comme perdue dans des pensées étranges dont seul ses deux amis parvenaient à le tirer. A l'époque, personne n'avait pu dire pourquoi il était plus distant que l'année précédente. Cette chose, seul le concerné et son meilleur ami en avait connaissance. Même les douces caresses sur sa joue provenant de sa mère et son doux sourire ne parvenait à le faire parler.
Ce fut au départ un sentiment horrible de manque qui lui avait fait se confier à Mad. Il avait beau être intelligent il savait que quelque part, parler de "ça" au brun était difficile mais en tant qu'amis ils s'étaient jurés de tout ce dire. Tout... tout? Cela incluait il le fait que son grand frère n'était guère doux avec lui? Lawliet avait longuement réfléchit au pour et au contre avant de tirer son ami dans le placard à balais pour lui raconter ses nuits. Nuits de cauchemars, nuits qui l'épuisaient, nuits, où lorsque l'autre ne venait pas, étaient passer à veiller dans le doute d'un réveil impromptu! Il ne parvenait à comprendre le pourquoi. Le pourquoi son frère devenait violent par instant avec lui? Le pourquoi sa sœur ne semblait pas savoir qu'il existait? Le pourquoi devait il vivre pour une chose en quoi il ne croyait pas? Le pourquoi son père était il si inapte à le comprendre. Ses pleurs coulèrent sur les sillons de ses joues, alors que, serré contre son meilleur ami qui tentait de le réconforter, il lui expliquait à quel point les regards jaloux et envieux des autres orphelins le brûlaient et le détruisaient en plus de sa propre vie de famille.
Ce fut la dernière fois qu'il pleura... et aussi la dernière fois que Mad le vit encore pur et innocent.

Il disparut le lendemain mystérieusement, personne ne sachant à l'orphelinat où il était passé. La question se posa, surtout pour Leen et Mad qui ne comprenait pas, plus particulièrement le petit brun qui avait recueillit la veille les pleurs de son ami si précieux. Le père en fut certes catastrophé mais pas pour les bonnes raisons, devant à présent songer à faire de l'aîné le successeur des Wickedness. La grande sœur du disparut faillit sortir un "Lawliet qui?" avant qu'elle ne se souvienne de l'existence de son petit frère. Et parmi ceux étant les plus chamboulés se trouvait être miss Adélaïde qui aimait profondément son garçon et Lawrence, l'aîné de la famille qui haïssait pourtant son frangin. Peut être que la mère de famille était trop occupée à déprimer et à se morfondre pour voir le sourire loin d'être agréable de ce même Lawrence suite à la nouvelle de la disparition du petit frère.... Il disparut un an et durant cette année....

°°°°°

La seule pensée de Lawliet était "Ou suis-je?", pensée à laquelle se suivait éternellement des "Quand sommes nous?" "Qui suis-je?" "Est-ce que j'existe ou ne suis-je qu'illusion?" Il ne savait plus... plus rien. Voilà maintenant combien.... des mois qu'il ne savait plus rien. Ou serait ce des semaines? des jours? des heures? ou même juste quelques éternelles minutes?
Tant de temps qu'il ne savait plus rien. Tant de temps que le temps n'était plus un temps. Qui était-il. Depuis quand était-il là. Ce qu'il y faisait. Si la lumière existait. Tant de temps qu'il avait perdu tout repère chronologique, plongé dans une nuit infini, enfermé dans une pièce minuscule et pourtant si désespérément sombre et vide. Tant de temps qu'il n'avait plus aucun pouvoir sur rien. Juste enfermé dans cette cage. Mais les murs étaient-ils durs et solides ou mous et flexibles? Etaient-ils réels ou de simples démons de son imagination farfelue qui lui jouait encore des tours? Une lueur blanche, agressive, inonda le temps d'une heure ou d'une seconde -peu lui importait- cette cage de ténèbre, mais sur quoi? Sur cette silhouette si vaguement familière mais qu'il ne pouvait identifié à cause de ses repères si chamboulés. Un rire sadique et froid sortie de la gorge de l'homme qui portait sur lui un regard que Lawliet fuyait même dans la noirceur de la pièce. Si son ravisseur passait inaperçus dans le noir, ses yeux si haineux ne pouvaient qu'être visible.
Comme chaque fois qu'il venait, ce bourreau sans visage le giflait violemment, l'obligeait à manger à des intervalles qu'il ne pouvait dire s'ils étaient normaux ou non et sortait un petit couteau dont la lame blanche brillait dans le noir. Et comme chaque fois ce mystérieux inconnu l'attaché à quelques barreaux fixés au mur, et le déshabillait consciencieusement. La suite n'est guère difficile à deviner... Il le détruisait de l'intérieur, le souillait, l'humiliait en le faisant hurler de douleur. Mais si cette douleur n'avait été que physique, il l'aurait peut être supporter... Mais pas ainsi, pas comme cela, non.
Cet être ne se contentait pas de le violer non, il faisait courir la lame froide sur sa peau, la coupant et faisant couler le liquide chaud qu'il abritait sans daignait l'achever et le soulager de toutes ses souffrances. Il s'amusait juste à le déchirer au plus profond de sa chair lors du viol tout en continuant cette œuvre intérieur, à la lame. Ses hurlements transperçaient tout tant leur désespoir et leur violence aurait pu prendre n'importe qui au plus profond de ses entrailles pour l'en retourner tout entier... tant ses cris parlaient d'eux même... tant ils exprimaient la souffrance... tant ils exprimaient le désespoir.... la haine... la douleur...
Non, il ne se contentait pas de cela, de ce regard toujours plus froid et meurtrier chaque fois. Non, cette douleur et cette souillure ne lui suffisaient pas. Il jouissait de le briser mentalement, le harcelant de paroles blessantes qui ne reflétaient que quelques pans de son enfance. Lui expliquant chaque faits de sa vie, lui expliquant que tout le monde l'utilisait, le haïssait, qu'il n'était qu'une loque... le rabaissant toujours plus, toujours... Si bien que, dans l'esprit de Lawliet, ses paroles blessantes ne pouvaient être que véridiques...
Et ces instants douloureux avec son agresseur mental et physique ne cessaient que lorsque, repus et apparemment content de le voir trembler sur le sol, nu, les yeux rivés vers un point inconnu et la tête entre ces mains, il lui déposait cette même lame qu'il utilisait lors que leurs ébats si impurs et ignobles pour lui laisser une chance d'en finir.
Alors, après avoir tant souffert et que son regard terne et presque mort se posait sur la lame, il soufflait, retenait un sanglot et attraper l'arme pour jouer avec elle dans sa main... avant que d'un coup sec et bref, il entaille son poignet gauche... Et cela n'en finissait pas... Son agresseur arrivait toujours pour le soigner avec violence et le maintenir en vie quoiqu'il fasse, quoiqu'il tente... soignant sadiquement des blessures encore à vif de façon cruelle, laissant une eau salé le ronger marquant à jamais ses coups de lames dans sa peau d'enfant. L'eau salé le brulant, le rongeant, un peu plus encore chaque jour, autant que son esprit qui s'effritait sûrement... Et ce schéma se perpétrait à nouveau, encore et encore... encore et encore... toujours et jamais....
Pourtant un soir, il se réveilla devant la porte de l'orphelinat après avoir manger la veille ou quelque soit le temps qui le sépara de cette libération si libération elle fût...

Suite de l'histoire:

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Il était le 13 Décembre de l'année de ses neuf ans lorsqu'il réapparut subitement, comme par enchantement ou par désenchantement...
Il fût dur pour lui de songer que durant son absence tout avait changer. La première chose qu'il entendu en pénétrant dans l'orphelinat furent les cris de bébé qui correspondaient avec la naissance de ses deux cadettes jumelles il y a de cela six mois. Une chose qui lui fut difficile d'accepter. Puis le fait que tous les orphelins l'avaient soit oublié, soit dénigré et dès qu'ils le croisait ne faisait que l'injurier ou le rabaisser. Constamment.
Seul Mad et Leen se comportaient comme avant. Sa mère, si aimante auparavant le regardait étrangement en le traitant de fils indigne et de rébus. Son frère lui n'avait pas changé et celle qui était sa grande sœur l'ignorait toujours autant. Même une semaine après son retour, il ne parvenait à comprendre ses changements. Avait il été absent tant de temps que tout le monde avait changé? A moins que... Tout le monde était déjà aussi infect mais qu'ils n'avaient fait que le cacher... lui mentir. Alors... peut être était ce même l'un d'entre eux... l'un des membres de cette "famille" qui avait organisé cette séquestration... Peut être même étaient-ils tous dans le coup! Même Leen et Mad... Pourquoi seraient ils différent des autres! Tous si infects et répugnants avec leur pseudo bons sentiments! Etait ce cela l'Amour familial? Dans ce cas il n'en voulait pas! Aucune sorte d'Amour... Il rejeta tous ces sentiments ridicules.
Lawliet se mit à y réfléchir avec plus de sérieux et l'idée la plus logique et la plus rationnelle lui vient à l'esprit. Il n'avait certes que dix années mais cela était suffisant d'après lui pour comprendre ce qu'il fallait faire dans ce cas là. Lorsqu'il y a de la vermine il faut l'éliminer non? Alors avec eux, ceux qui c'était amusé à le détruire quoi de plus normal que de faire de même?
Pourtant, il ne put s'y résoudre... juste y réfléchir comme il faut. Chercher comment faire pour que personne ne se doute de quoique ce soit. Il continuait donc de vivre, ou plutôt de survivre, faisant semblant d'être comme avant. Chose qui fonctionner assez bien. Mais la nuit... la nuit... Ils revenaient... Ces cauchemars si réels qu'ils rouvraient les plaies encore si vives de son année passée dans le noir le plus total... Un soir quelqu'un commit la faute qu'attendait Lawliet pour faire ressortir toute la rancune que renfermée son cœur d'adulte dans un corps d'enfant.
Lawrence fit cette erreur... Celle de rentrer dans sa chambre une nuit où il tremblait comme une feuille dans son lit. Il donnait juste l'impression de dormir, aussi s'était-il permit d'ouvrir la porte. Seulement il ne dormait pas. Seulement il vit la silhouette de son frère se découper dans l'entrebâillement de la porte, lui rappelant ainsi celle de son ravisseur, violeur, son bourreau sans visage. Seulement il entendit ce rire sadique qu'eut son frère en le voyant apeuré dans le noir malgré son pseudo sommeil. Seulement il comprit qui était cet être qu'il haïssait si profondément de son âme d'enfant trop adulte. La haine le prit sournoisement toute la nuit, faisant mûrir encore un peu cette rancœur jusqu'au lendemain.... Un lendemain sans lendemain.
Une matinée tranquille, où les oiseaux gazouillés et où le soleil brillait traitrement.
Tout alla vite... ou mortellement lentement. Pour lui, cet instant magnifique fut bien trop court. L'instant où Lawrence se retourna, cachant non sans difficulté l'envie de le torturer de nouveau. Mais dans son intelligence dont il était dénudé, il n'avait pas songé que le petit Lawliet n'était pas là pour s'amuser. L'éclat de la lame qu'il tenait en était la preuve, tout comme le sourire sadique et satisfait qu'affichait le cadet. Tout comme ce regard de fou... Mais l'albinos qu'était Law', dans son infini bonté préféra faire perdurer la lente et douloureuse agonie de son frère. Ce ne fut guère difficile, il le surpris dans sa chambre et planta le couteau de cuisine dans son estomac. Un sourire s'étira sur son visage alors que le garçon glissait sur le mur, se tenant le ventre là où la blessure laissée se répandre le liquide salvateur. Il prit donc un malin plaisir à s'asseoir au niveau de la blessure et à y porter tout son poids en regardant les yeux prussiens de son aîné qui répliqua sottement un "Pourquoi" murmurer entre deux gémissements de douleur.
"Ahaha! Ne me dis pas que tu n'en as aucune idée... Est-ce douloureux si j'appuis là? Hmm... vu la grimace qui court sur ton visage tu n'as pas l'air d'apprécier... Permet moi donc d'insister plus fort dans ce cas.
- Co...!!! Comment as-tu...."
L'enfant posa son index sur les lèvres de son frère, reprenant son petit monologue entamé plus tôt de sa voix fluette et rieuse, jouant avec le couteau.
" Comment ai-je compris? Tu n'es qu'un sot si tu ne le vois pas... Mais d'avoir voulut m'utiliser fut ta plus fatale erreur. Tu n'appréciais pas le fait que je prenne la succession n'est ce pas? Un pauvre gamin comme moi qui pourtant se trouve être plus intelligent que toi...Tu souffres? Hm? Et si j'enfonce de nouveau le couteau? ... Oui je comprend... cela doit être douloureux. Mais moi je ne sens rien alors pourquoi ne pas continuer? "
+Petit arme blanche, brillant et s'enfonçant, tu te taches du beau liquide sang!+
"Ne t'inquiète donc pas. Tu n'iras pas au paradis mais pas en enfer! Car je te réserve un sort bien plus délicat et appréciable pour toi! Que dirais tu de croupir dans cet état dans le grenier? Peut être pourrais je y mettre le feu... Tu as mal? A bon? Je ne sens toujours rien... J'en déduis que tu ne dois pas souffrir tant que cela car comme tu dois le sentir ta triste essence vitale t'abandonne... Le froid doit te prendre... alors avoue le moi... c'était toi?
- Enfl... "
Un rire enfantin et si froid résonna dans le pièce, alors que sautillant à cloche pied, Lawliet sortit, l'arme ensanglanté encore en main. Il égorgea tous les orphelins présents dans le couloir, et tous ceux qui se trouvait sur son chemin (je ne vous décrit pas la scène dans mon infini bonté). Et ce en chantonnant sa petite comptine en riant.
+Petit arme blanche, brillant et s'enfonçant, tu te taches du beau liquide sang!+
Le sol de l'orphelinat fut bientôt entièrement recouvert de sang. Il avait poignardé son Père en plein cœur avant de s'amuser à enfoncer la lame dans son bras pour voir s'il pouvait encore bouger même après la mort. Il lui sautilla dessus avant de continuer son avancer et de pénétrer dans la chambre de sa mère qui, face à sa coiffeuse, se passait les mains dans les cheveux.
"Maman maman! Puis je te coiffer que tu sois belle?"
Il attacha des rubans blancs, qui se tachèrent du sang accumulé sur les mains de l'enfant et pour finir il porta la lame sur le cou de sa mère avant d'appuyer et d'allonger sa mère sur le grand lit. Il y déposa les deux pétales rouges se trouvant sur la commode. Les deux petites pleuraient dans leur berceau, comme se doutant du drame. Il les regarda avant de les assassiner d'un air semble-il agacé par leurs cris répétés et tournant la tête vers la porte il l'aperçut. Une petite blondinette l'observait l'air horrifié et se mit à courir: Leen. Mais comment aurait put faire la petite, alors que Law semblait comme posséder. Elle y passa elle aussi, le garçon l'ayant rassurée en lui disant qu'elle n'avait rien à craindre car il l'aimait.
C'était donc si facile de faire croire ce genre de chose? C'était donc si facile de tuer et de répandre le sang. Pour finir il ne restait que lui... Du moins il le croyait quand sa grande sœur débarqua à l'orphelinat accompagné de Mad. Un silence se fit lorsqu'il fut découvert, le couteau à la main et la demoiselle crut bon de s'enfuir en laissant les enfants en face à face. Il s'occuperait d'elle plus tard, pour l'instant il n'avait plus qu'à appliquer le dernier point de ce dont il avait pensé depuis si longtemps. Depuis tant de jours il avait songé à ce massacre avec envie et il se délectait de pouvoir finir son œuvre. Il retint un sourire mesquin et se contenta de faire un magnifique sourire à son meilleur ami qui ne semblait guère rassuré.
"Law... qu... que sait il passé? Non ne m'approche pas!
- Mad! Comment peux tu ne serais-ce que songer que je te veux du mal... ils étaient mauvais... c'était des 'méchants' tu comprends... Moi je ne te veux pas de mal, tu es gentil... tu es mon ami.
- ... Law
- Je ne veux pas que tu me fuis, tu es ma seule famille... je ne te ferais jamais de mal!"
L'air tout bouleversé, il s'était approché du garçon qu'il soupçonnait avoir des sentiments plus qu'amicaux à son égard. Mais il ne fallait pas s'avancer... Pas tout précipiter... juste manipuler. Il passa ses bras autour de son ami et se réfugia dans ses bras, comme le soir où il lui avait confié ses peurs. Il le serra contre lui marmonnant des paroles rassurantes, pour qu'il n'ai plus peur de lui, sortant calmement de sa poche et en toute discrétion, l'arme de ses crimes pour lui montrer et la lâcha sur le sol.
"Regarde... je ne te veux aucun mal. Je t'aime tellement... Tu es mon frère, ma seule famille... Tu me promets d'être toujours la pour moi Mad.... promets le moi... s'il te plait...
- Law... bien sur... je serais toujours là pour toi, et pour te protéger! Je ferais tout pour toi!
- Tu veux bien me protéger alors? "
Il acquiesça d'un mouvement de tête qui rendit son sourire quelque peu sadique à l'enfant qui jouait avec les mèches de cheveux du plus innocent. A ce stade pourquoi ne pas jouer un peu plus? Le résultat serait le même de tout manière non? La curiosité l'emporta et sa voix doucereuse et calme se fit entendre.
" Tu m'aimes?"
La rougeur pointant sur les joues de Mad lui répondit et comme pour s'amuser encore un peu de lui, il caressa les lèvres de l'orphelin des siennes, gentiment, doucement.
"Alors moi une preuve de ton amitié et de ton amour!
- Bien sur! Comment?
- Hm... comme cela!"
Il attrapa le couteau avant de l'enfoncer d'un coup sec dans le dos du petit garçon qui s'écroula sur lui. Il se mit à rire de la stupidité de son ami.
"Merci... mon ami! Maintenant tu es moi et tu te trouves êtres mort assassiné! Apparemment Grande Sœur va être accusé de mon meurtre... c'est triste! Hihi! "
°°°°°
Le lendemain le massacre fut découvert par la police... Les journaux affichaient à peu près cela: "Un orphelinat tout entier mis à mort par une jeune fille de 17 ans. Elle tua dans sa folie son père, sa mère, ses deux frères et ses deux sœurs. Elle est encore introuvable et sera sûrement juger dès son arrestation, encourant la peine maximale"
Et pendant ce temps, quelque part Lawliet Wickedness ... ou plutôt Nate River, se perdait dans la nature pour une ville qui reflétait véritablement la vie est sa face cachée, celle du fruit pourri, celui du pêché..

...... ^^ je lirais ta fiche demain (= jamais) *porte* si je déconne , quand l'envie me prendra sans doute OwO désolée -_- bon bah je pense que ça doit être très triste très bien comme d'habituuuudeuuuh quoi *se pend *

Fiche validée