Nodoka Barman au death bar
Nombre de messages : 5 Où habite-t-il/elle ? : Le vieil immeuble Emploi ou rang (dans le rpg ) : Barman du Death Bar Âge du personnage : 17 ans Date d'inscription : 05/01/2007
| Sujet: ||~|| Nodoka ||~|| Ven 5 Jan - 15:04 | |
| Nom : Larmiza
Prénom : Nodoka
Surnom : Cristal, par sa faiblesse, innocence et beauté
Âge : 17 ans
Sexe : Masculin
Sexualité : Bisexuel
||+||
Travail : Barman au death bar
||+||
Famille : Mère : Wizao Aska Père : Sâraku Larmiza Une jeune femme âgée de 34 ans actuellement. Douce, gentille et mélancolique, elle était très naïve et simple pendant sa jeunesse, dans laquelle elle vécue heureusement, jusqu’à l’âge de 17 ans. Elle tomba follement amoureuse d’un camarade de classe, nommé Sâraku Larmiza. Le couple fut heureux. Mais malheureusement, un évènement fit troubler leurs vies. Quelques mois après leur rencontre, Wizao fut enceinte. Celle-ci s’en rendit compte au bout d’un certain temps. Elle en pleura toute la nuit. Ne sachant pas quoi faire, elle du alors en parler à son amour. Celui-ci ne fut pas si apeuré, et l’encouragea. Le seul inconvénient, était l’âge des parents, mais aussi le secret qu’ils devaient garder en silence devant les parents de Sâraku. Ceux-ci n’auraient jamais accepté une telle naissance. Les parents de Wizao étaient morts lorsque celle-ci avait 4 ans à peine. Les parents de Sâraku étaient très riches, et refuserait même la relation de leur fils avec une orpheline pauvre. Lorsque les deux parents virent leur fils, celui-ci avait les cheveux blancs, comme sa mère. Le père se précipita pour obtenir un emploi, et assurer l’avenir de cette nouvelle famille. Tout allait bien pour l’instant. C’est alors que le père eut des problèmes avec une certaine mafia, alors qu’il n’avait rien fait pour. Sâraku fut assassiné, Wizao enlevée. Gardant son fils entre ses bras, la jeune mère, du obéir aux mafieux, et se prostituer des jours et jours. Son fils avait à présent 4 ans. Elle voulait à tout prix l’éloigner de cette ambiance criminelle et illégale. Elle l’envoya dans le pensionnat, dans lequel elle avait grandit… La santé mentale de la mère s’endommageait de plus en plus, elle ne supportait pas de ne plus voir son fils. Elle lui envoyait de l’argent par courrier, pour survivre… Lorsqu’elle apprit que son fils sortit du pensionnat, à 16 ans, elle voulut éviter que la mafia l’enlève aussi. Wizao chercha alors pendant un an un village dans lequel le jeune Nodoka serait à l’abri. Elle ne fit pas le bon choix, mais elle ne pourrait jamais le savoir… Les lettres que lui envoyait son fils étaient brûlées devant ses yeux, par les brigands qui la retenaient dans son enfer.
Origine : Au sud du Japon, dans une petite ville. Qui a été détruite quelques années auparavant, pour une raison inconnue.
Où habite-t-il ? : Dans le vieil immeuble.
Histoire : La lune. L’obscurité, c’est la première chose que vit Nodoka. Lorsqu’il naquit. Cette sphère blanchâtre, flottait à travers la fenêtre de l’infirmerie, du pensionnat de ses parents. Un ami de Sâraku, étudiant en médecine, avait aider à ce nouveau né à entrer dans ce vaste monde. Les parents le regardèrent un long moment. Nodoka ne pleurait pas, il était calme, regardant la lune. L’ami du père n’en revenait pas et sourit en prenant la main du bébé. La mère se lava puis se reposa, regardant son amour qui berçait son leur fils. Et voilà, les parents avaient réussi à tout faire en secret, sans incident. Un an plus tard, le bonheur paraissait assuré, le père trouva un travail sûr et efficace, qui lui permettait un avenir prospère tout en ayant le temps de voir sa nouvelle famille.
Mais. Il y a toujours un mais.
Mais le père eu des problèmes avec la mafia. Wizao reçu un coup de téléphone d’un mafieux, celui-ci lui expliquait de venir en vitesse dans leur quartier général si elle voulait son mari en vie. Elle se précipita, mais le pire, c’est qu’elle était obligée d’emmener son fils avec elle, elle n’avait personne pour le garder. Peu de temps après ceci, la mère de Nodoka vit son amour mourir d’un tir dans le cœur, et elle fut condamnée à la prostitution, sous la domination de la mafia.
Pour sauver son fils, Wizao l’envoya dans le pensionnat où elle avait grandit et rencontré Sâraku.
Nodoka avait 4 ans lorsqu’il fut séparé de sa mère. Il ne s’en rendit pas compte, et ne pleura pas. Son inconscience le mena au bonheur. Accompagné de son innocence et de sa naïveté il découvrit la vie sociale, avec les autres enfants. Ceux-ci le traitaient souvent de fille, certains à cause de son nom, d’autres parce qu’il jouait au poupées avec les autres filles. Nodoka restait indifférent à cette comparaison, il continuait à découvrir la vie. Il connut la douleur, la joie, l’amitié, la trahison. Bref, tout ce qu’on apprend au début de la vie. Vers 14 ans, il connut l’amour, enfin pas vraiment… Une fille de son âge était folle amoureuse de lui. Celle-ci eut le courage de lui confesser ses sentiments, au bout de deux trimestres. Voici la discussion :
« - Nodoka-san… - Oui ? Que se passe-t-il ? -Je… comment te dire, je… - Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu as un problème ? -Je… je t’aime… »
La jeune fille versa une larme sur ses joues. Nodoka ne comprenait pas vraiment. Il s’approcha d’elle et l’entoura de ses bras comme pour la consoler.
« -Ne pleures pas… -… tu m’aimes… -Euh… oui… »
Cette fille mourut le lendemain, écrasée par le bus du pensionnat qui devait l’emmener en sortie. Pour la première fois, Nodoka pleura pour autre cause que la douleur.
Vers 16 ans, il découvrit sa bisexualité. Dans les douches, un garçon de sa classe le séduisit et il perdit la virginité. Cet élève se nommait Krys. Peu à peu, Krys devint de plus en plus dominant sur Nodoka, celui-ci se laissait faire. C’est ainsi qu’il devint de plus en plus l’esclave de son ‘maître’. Cette relation entamait aussi le sado-masochisme. Des cicatrices apparaissaient sur le corps de Nodoka au cours du temps. Lorsque ses tuteurs lui demandait la cause de ses blessures, il ne répondait pas. Le problème, c’est que Nodoka n’aimait pas cette situation, il ne ressentait aucun plaisir à être réduit à rien devant son maître. Il ne savait pas comment arrêter ceci, et de toute façon, il gardait espoir et supportait la situation, plutôt que de trouver une solution. Au bout de plusieurs mois, Krys fut renvoyé du pensionnat. On l’avait surpris en train fouetter son ‘esclave’ en disant : « Tu n’as pas portée la lingerie que je t’ai acheté, sale pute ! » Les professeurs témoins de la situation en discutèrent avec le psychologue de l’établissement. Celui-ci eut alors une discussion avec Nodoka peu après les faits : « -Nodoka, étais-tu d’accord que Krys te fouette ? -Je n’avais pas le choix. -Aimes-tu ce genre de chose ? -Non, je les supporte. -Trouves-tu normal que Krys te domines ainsi ? -… -Oui ou non ? -Je n’en sais rien. -Tu trouves ça normal, pas vrai ? -Non. -Alors pourquoi acceptes-tu ? -D’après vous il faut accepter que la normalité. Mais j’ai l’impression que dans ce monde rien n’est normal. -… -Je ne veux plus vous déranger, veuillez m’excuser. »
Nodoka sortit de la pièce. À la fin de l’année scolaire, il fut convoqué par le proviseur du pensionnat.
« -Es-tu Nodoka Larmiza ? -Oui monsieur. -Bien assieds-toi je te pries. Je vais t’expliquer quelque chose d’important. Si tu as eu droit à des études ici, c’est grâce à ta mère qui nous envois de l’argent pour toi. Mais à présent, comme tu vas te diriger ailleurs, tu devras lui donner l’adresse où tu seras pour qu’elle puisse continuer à t’envoyer de l’argent. Voici la lettre qu’elle nous a laissé pour toi. »
Nodoka prit la lettre et la lut : « Cher Nodoka, je suis heureuse que tu es finis le pensionnat, tes résultats doivent être très convenables, je n’en doutes pas. Je suis désolé de ne jamais avoir pu te voir depuis la mort de ton père, quand tu avais 4 ans. J’ignore si tu t’en rappelles. J’aimerai continuer à t’envoyer de l’argent pour t’aider. C’est la seule chose que je peux faire, je suis prisonnière. Pas dans une prison, mais chez des gens injustes, qui ont ôté la vie à ton père. Je crois qu’on ne pourra pas se voir le restant de la vie, mais la seule chose que je veux faire, c’est de t’aider. Je t’enverrais tout l’argent que je gagnerai en sacrifiant mon corps ici. Je n’ai pas le choix, j’en suis obligée par eux. S’il te plait acceptes cette argent. Tu es ma seule raison de vivre, si je souffre ici c’est pour t’aider. Je ne veux pas que tu sois enlevé par eux. Alors je te conseille un lieu, assez éloigné pour que tu sois en sécurité. Voici un plan ci-joint. Je t’embrasse très fort mon fils, que le bonheur soit omniprésent dans ta vie. PS : Je ne te donnes pas d’adresse pour que tu me répondes, car si jamais tu le faisais, ils liraient ta lettre et la brûleraient devant moi sans que je puisse la lire. Sois heureux Nodoka. »
Des taches de larmes étaient présentes sur le papier. Sa mère avait pleuré dessus. Nodoka pleura aussi et sortit du bureau du proviseur sans un mot. C’est ainsi que le jeune homme partit vers Kuroi-Mochi, une ville pas si sûre que ça…
||+||
Description Physique : Nodoka possède un visage fin, recouverte d’une peau douce et pâle. Ses yeux gris reflètent tous ses sentiments, son regard expressif. Ses sourcils fins se cernent rarement, et ses douces lèvres tentent de sourire le plus possible. Une chevelure d’un blanc éclatant effleure ses épaules. Son corps possède des formes sensuelles et attirantes, qui seraient capable de satisfaire de nombreuses personnes. Sa beauté est telle que son interlocuteur ressent sa présence comme celle d’un ange. Quelques cicatrices sont parsemées sur son corps. Il porte souvent des vêtements plutôt élégants, ressemblant à des costumes. Sa voix légère, peut être comparé à celle d’une femme, et ses gestes aussi. À première vue, il incarne l’innocence totale, et la faiblesse. Il a l'habitude de se parfumer avec une fragence qui sent les fruits, que sa mère portait pendant sa jeunesse. Ses mains sont fines et douces, il les laissent souvent entrelacés ou derrière son dos, signe de timidité.
Description Psychologique : Nodoka est tout d’abord timide. Il arrive à s’ouvrir aux autres que lorsque l’amitié est présente. Son instinct est curieux. Il n’a peur presque de rien, supporte les méfaits des autres comme il peut. Il est n’est pas souvent triste, et pleure rarement. Il a l’air naïf, mais sa ténacité prouve que c’est son indifférence qui le rend ainsi. Il peut endurer et remarquer des tas de choses sans ressentir quoique ce soit, mais tout dépend du domaine. Son esprit est très imaginaire, créatif et rêveur. Il cède souvent aux caprices des autres, et ne pense pas à lui, Il est généreux d’un côté, mais ce n’est pas parce qu’il veut le bien de tout le monde, c’est plutôt parce qu’il ne craint de perdre du bien. Il se contente de vivre la vie sans se plaindre, lorsqu’il peut. Lorsqu’il est amoureux, son envie de vivre se décuple, et il ferait tout pour son âme sœur. Il a toujours de l’espoir. Malgré cette force positive, Nodoka craque des fois, laissant les larmes couler sur ses joues.
||+||
Ce qu’il ou elle n’aime pas : Recevoir l’argent de sa mère périodiquement, être ignoré de tous le monde, ne pas se rappeler du passé, perdre un amour.
Ce qu’il ou elle aime : Plaire aux gens, avoir des relations avec quelqu’un qu’il apprécies, être amoureux, voir quelqu’un d’heureux.
||+||
Autre ? : Il collectionne des dés. | |
|
Keï Sagano Voleur /Admin que tout le monde déteste au point de vouloir le brûler *naaan >0<*
Nombre de messages : 38 Age : 31 Où habite-t-il/elle ? : Il vie dans les rues , en tant que bon voleur et bon délinquant ^^ Emploi ou rang (dans le rpg ) : C'est un voleur professionel ^^' Âge du personnage : 16 ans Date d'inscription : 29/12/2006
| Sujet: Re: ||~|| Nodoka ||~|| Ven 5 Jan - 15:31 | |
| C'est que Kuroi Mochi c'est une ville fantastique .. c'est même la pire du Japon .. XD àlàlà , pourquoi faut toujours qu'il y ai de la mafia et des trucs comme ça dans tes histoires ? *égorge coco mais lui rescotche la gorge * ahem bref , j'suis jalouse de ta description pour la famille de ton perso *o* pis .. chouette , un soumis -^^- *porte*
Fiche validée | |
|